%0 Journal Article %T La tension polyphonique énonciative Cas d’étude : les textes de Paul Valéry %J Plume, Revue semestrielle de l'Association Iranienne de Langue et Littérature Françaises %I Association Iranienne de Langue et Littérature Françaises %Z 1735-692X %A ATHARI NIKAZM, Marzieh %D 2015 %\ 07/01/2015 %V 11 %N 21 %P 7-38 %! La tension polyphonique énonciative Cas d’étude : les textes de Paul Valéry %K Valéry %K Sémiotique %K énonciation %K tension polyphonique %K embrayage %K débrayage %R 10.22129/plume.2015.48910 %X   L’étude des instances énonciatives chez Valéry permet, par son dynamisme, de concilier d’une part le caractère indicible d’une source de parole, dont le lieu est occupé par un "Je", et d’autre part, le caractère sensible, à la fois perceptif et émotionnel, d’une énonciation qui cherche à s’imposer. C’est ainsi que l’analyse systématique et détaillée des stratégies de la vision dans l’œuvre valéryenne, conduite à la lumière des théories sémiotiques dévoile la présence implicite d’une hypothèse que nous nous permettons d’appeler la tension polyphonique énonciative liée à la théorie de l’embrayage et du débrayage et des instances énonçantes. En effet, s’il y a pluralité du "moi" chez Valéry et la rivalité entre les instances, c’est qu’il y a un objet de valeur : cet objet de valeur est la quête de l’identité de l’auteur, le soi en devenir. C’est pour arriver à l’identification de soi que les instances sont en conflit, avec pour résultat, l’apparition d’une tension.     %U https://www.revueplume.ir/article_48910_e859a3e8d43f45a502784c2e41ddb652.pdf